vendredi 25 janvier 2013

Derrière soi parfois

Autant devant.
Combien avant.
Tant de vie
de contraires,
d'aspérités.

Est-ce pour un futur, de tout 
vouloir laisser derrière soi ?

Pourquoi tourner de concert
avec cette
Sphère jamais essoufflée.

La Terre

Domaine rotatif
d'abîmes,
même nombre d'abîmés.

La Terre

Des jardins sublimes,
aux jardins scellés par
trousseaux de
méchanceté.

Idée !

S'oblitérer, se délivrer, partir.






Allez, on se volatilise.
Loin, plus haut, perché.
Jouons l'oiseau.
Déjouons le magnétisé
du boulet au sol " obligé ".
Plongeons dans  
la durée allongée
d'un temps évanoui,
nommé rêve syncopé.

Mais, pendant ce temps
du ce pendant.
À distance de la stellaire,
dans des infinis 
tops imaginaires,
l'ouïe jamais endormie
joue bis
ce sonnet nenni muet que:

La Terre

Cet univers circulaire
sera toujours
failles, que failles.
















Dat is geen probleem !
Qu'à cela ne tienne !

Anticipo
僅 seul
Un -derrière soi- imagine...

seule
Une -devant'elle-prévoit...













SkyPartez avec l'option
-vue derrière soi-

Tempus fugit

Tout le poids lourd passé
deviendra souffle léger
autour du quai des brumes.

Derrière soi
Un verbe Être
et ses liaisons.
in fine.