mercredi 5 novembre 2014

Branche à l'autre

Où est Ana ?
Somewhere
entre les branches !

5 novembre


























Un mois plus tard toujours en tranches entre les branches….





























Depuis la nouvelle saison
où est Ana ?
Débranchée je crois.


lundi 28 juillet 2014

voir-venir-venise



Pagayer vers la République.
Vogue sans gondoler vers
la Sérénissime de
l'architecture volubile,
cet expressif minéral italien.

Alla-Rame




















Encore un autre chapitre
où coquillage au tympan,
j'entends seriner
d'antiques Sirènes. 













Prends garde !

Démasque-toi
si tu désires la singularité.
Le Carnaval
se nomme ici-là,
tourisme à volonté.

Voir-venir-venise et s'y noyer !
En amont.
En aval.
Des esprits-bien-trempés
l'avait vue venir
la Lagune meurtrière, assoiffée.

Même si à l'origine c'était
" Voir Venise et Morire ".
Qu'importe !  Ici on marche sur les eaux ;
le pied marin ne se chausse pas à tout hasard...















De l'oeil à l'ouïe
entendre venir la prochaine vague.
Te saouler l'oreille et lunettes
par récits de ces
dynasties de brocarts-soieries.
Toujours " vantousées " à
leur pallazio d'éternité !

Ces 2 contemporains venus de si loin
telles deux barques en état de pause,
se sont accostées puis coast to cause.


Ni agités, ni ballottés,
ils résistent à tanguer.
Voir-venir-venise.

Ne dis rien, le salin érode les mots.
Ici les murs,
les vagues.
les îles ont seuls
droit de citer.

Visions.
Clichés.
For ever, inachevés.

Fini de palabrer !
Viens Voir Venir.
Ouvre l'oeil et conjugue les curiosités
qu'un séjour entre les eaux usées de tant d'écrits ,
additionné à d'innombrables détours z'é soupirs 
( sur les centaines de ponts piétinés),
ont AVEC " histoire de l'art " 
printés mon regard.












































Saluto bel gatto nero ! Ciao 



mardi 22 avril 2014

Derrière ta peau ces points de suspension.

Qu'est ce que je ne vois pas ?
Pourquoi tu ne dis pas ?
Je veux savoir !


















Si près comme
une promiscuité magnétisée.

L'oeil pourfendeur guette
ces" inconnus "
urbains.

Ça circule
ces singuliers
côté gauche,
tenue masculin.
Ça gesticule
toutes à droite,
coloré, écran féminin.

Seule.
Avec d'autres,
toujours une peau et son être.

Derrière un courant azur pollué,
leurs blues à l'affiche, étalés.






































Anonymes multiples,
sans mot dire
délitent les pavés talons usés.
Matière grise sur fond vert
à quoi penses-tu tête baissée
à lorgner ainsi cette poussière ?





Derrière ton image.
Derrière ce nez,
ces yeux sourcillés,
ta joue émaciée,
ces lèvres !
C'est la vastitude
cet énorme champ d'intrigues.







































" Tu es agitée "
ton flux intérieur
est en haute marée.

C'est qui, sait quoi ?
Un être, une chose
une blessure,
c'est l'absence
qui te ride cette paupière ?

Tu fixes
puis te retournes.
Mais encore
c'est quoi le continent qui s'engloutit derrière ton front ?

Qu'est ce qu'il y a séant au séant de cet épiderme ?
Un écran câblé de scénarios
Tes mots
Tes fantasmes
Trop d'émotions et ça traîne,
c'est cela ?



En voici d'autres faciès épinglés au mur-musée.

Des vies étiquetées de plusieurs années.
Des vies-de-jersey étendues,
issues d'un tissus quotidien
souvent rapiécé de courts instants,
rarement " ourlé " un-temps-pour-elles !

Une vie intérieure détaillée au pinceau.
Est ce que la vie est un art
et ce n'est même pas une interrogation !

C'est moi qui imagine ta vie du dedans.

Puis j'y pense



( " Quiet days in cliché ")

dimanche 23 février 2014

vendredi 17 janvier 2014

Sans ces mots du dimanche...


On ne dit rien !


On peut penser !




Qui veut rêver ?


Se souvenir



Y voir


S'enfuir


Au Revoir Mon Lézard

Je regarde. Descends. C'est tout de même beau.
Même si ce n'est point dit en-dimanche-des-mots.