Regarde encore et dis vague...
Voici juin, juillet et outre.
Voici l'eau de là. L'eau d'ici.
L'oeil se mouille.
La pupille roucoule.
Teintes trempées
je lis, je vois les teintes du
lavis devant soi...
Bel organe que celui du dessous des sourcils.
Beau bouleau qui cligne et voit incognito.
Son regard déboulonne le bavard d'un tel prosaïsme
qui palabre bis bis bis que l'arbre cache la forêt. Hé !
va-t'en plus loin Malin....
L'oeil américain ou
l'oeil le mien
regarde
l'oeil-de-boeuf.
Rétine réfléchissante
fixée vers son voisin, vers
la fusée fuselée cracheuse d'un feu innocent.
Vers un azur de beau temps
puis toujours l'espoir d'apercevoir les pas-z'en-vain du Vert Galant ,
houuuuuuu ! Est-ce qu'Il s'en vient ?????
Regard éclairé d'un rayon passagé.
L'enfant laisse l'ouvrage.
Elle observe ce
qui se meut à la clarté.
Rien ne sert de l'interroger. C'est à l'oeil
le mien, le vôtre, de découvrir le monde
qu'elle saisit. Qu'elle décolore. Qu'elle reteint,
remanie, pour en tisser un nouveau sien.
Il y a les regards ménagers d'hallucinantes secondes.
Des regards qui déroulent moult objets giratoires, griffés fabuleux.
Puis des surplus issus de carrousels comblés de scènes fictives,
actives, hé hop ! Que l'illusion les poursuivent !
Abondent ici
les Voir de l'oeil américain, du mien, du vôtre.
Généreux, ils sont légions. Débusquez les détours,
courez conjuguer le verbe voir au temps du-plus-
que-réel. C'est une invitation au loisir de l'esprit !
Ici. Fantaisie solaire, magicien de l'ombre,
fais apparaître celui qui se doit d'Hêtre !
Là. Cette gracieuse végétale,
pétales épanouis au coeur gracié
de cinq graciles silhouettes, sollicite
un saute-à-l'oeil.
Allez ! Allez remuez
la neurone facile !
Vous l'entendrez et la verrez vous dire à l'oeil !
Ici . Tu me regardes prête à partir alors attache mes lacets !
Ah !!!. Ne t'approches pas trop !
Surprends-moi de me découvrir Toute Autre !
Ceux du dessous se croyaient seuls et pourtant, l'oeil américain
Après avoir marché, foulé, piétiné les dalles, le plancher, le trottoir, la terre et les airs,
l'oeil américain, le mien n'ont surtout plus désiré terminer en trompe....
Nous avons fureté par ici. Humé le printemps de la vie en rose.
Puis dès la sensation de la lourde paupière, l'américain et le mien ont croisé la géographie d'une esthétique inusitée. Peru
Voici juin, juillet et outre.
Voici l'eau de là. L'eau d'ici.
L'oeil se mouille.
La pupille roucoule.
Teintes trempées
je lis, je vois les teintes du
lavis devant soi...
Bel organe que celui du dessous des sourcils.
Beau bouleau qui cligne et voit incognito.
Son regard déboulonne le bavard d'un tel prosaïsme
qui palabre bis bis bis que l'arbre cache la forêt. Hé !
va-t'en plus loin Malin....
L'oeil américain ou
l'oeil le mien
regarde
l'oeil-de-boeuf.
Rétine réfléchissante
fixée vers son voisin, vers
la fusée fuselée cracheuse d'un feu innocent.
Vers un azur de beau temps
puis toujours l'espoir d'apercevoir les pas-z'en-vain du Vert Galant ,
houuuuuuu ! Est-ce qu'Il s'en vient ?????
Regard éclairé d'un rayon passagé.
L'enfant laisse l'ouvrage.
Elle observe ce
qui se meut à la clarté.
Rien ne sert de l'interroger. C'est à l'oeil
le mien, le vôtre, de découvrir le monde
remanie, pour en tisser un nouveau sien.
Il y a les regards ménagers d'hallucinantes secondes.
Les regards successifs d'impressions de furtives jocondes,
style vingt-et-unième et nullles de vinci .
Puis des surplus issus de carrousels comblés de scènes fictives,
actives, hé hop ! Que l'illusion les poursuivent !
Abondent ici
les Voir de l'oeil américain, du mien, du vôtre.
Généreux, ils sont légions. Débusquez les détours,
courez conjuguer le verbe voir au temps du-plus-
que-réel. C'est une invitation au loisir de l'esprit !
Ici. Fantaisie solaire, magicien de l'ombre,
fais apparaître celui qui se doit d'Hêtre !
Là. Cette gracieuse végétale,
pétales épanouis au coeur gracié
de cinq graciles silhouettes, sollicite
un saute-à-l'oeil.
Allez ! Allez remuez
la neurone facile !
Vous l'entendrez et la verrez vous dire à l'oeil !
Ah !!!. Ne t'approches pas trop !
Surprends-moi de me découvrir Toute Autre !
Hé ! Hé ! Illusion réussie. Un coquin nuage
s'amuse à la marionnette...Minie est-elle de la partie ?
Ceux du dessous se croyaient seuls et pourtant, l'oeil américain
ou le mien se juxtaposait aux siens, au leurre, hein !
À une façon de voir le voir où tout se joue de plein
plan.
C'était, ceci , cela , la lecture du moment.
Fusion de paragraphes.
Panorama d'oeil de mouche.
C'était, ceci , cela , la lecture du moment.
Fusion de paragraphes.
Panorama d'oeil de mouche.
Hum ! Pendant ce temps où rien ne remue,
j'entends Auguste et Louis agiter la bobine
et un certain-dali frétiller
de poussiéreux pinceaux.
J'oeille à tout vent
et que Larousse se fume la dernière page !
j'entends Auguste et Louis agiter la bobine
et un certain-dali frétiller
de poussiéreux pinceaux.
J'oeille à tout vent
et que Larousse se fume la dernière page !
Après avoir marché, foulé, piétiné les dalles, le plancher, le trottoir, la terre et les airs,
l'oeil américain, le mien n'ont surtout plus désiré terminer en trompe....
Nous avons fureté par ici. Humé le printemps de la vie en rose.
Puis dès la sensation de la lourde paupière, l'américain et le mien ont croisé la géographie d'une esthétique inusitée. Peru