Aux riches heures d'une prière océane,
sa voix soprano-brumeuse
lancine de vagues appels.
À sec, je suis partie
à la coulée, en aval.
M'immerger pour
la rejoindre.
Me réfléchir dans
ses deep miroirs.
J'ai suivi les cours
d'eau,
de l'histoire,
de
son dieu,
Azimut vers
sa voix soprano-brumeuse
lancine de vagues appels.
À sec, je suis partie
à la coulée, en aval.
M'immerger pour
la rejoindre.
Me réfléchir dans
ses deep miroirs.
J'ai suivi les cours
d'eau,
de l'histoire,
de
son dieu,
de son guide,
son ombre.
Azimut vers
les vastes
de L'eau-Là.
Me suis mouillée
les yeux et l'âme.
Mémoire-à-dos,
j'en ai ramé des gorgées,
le nez pincé.
J'ai caressé
par surprise
ces fjords-de-falaises,
ces forteresses du Royaume.
Mon coeur et
ses dépendances.
Lyrique z'é
ondoyantes ont
moulé les vagues.
Hé toi regarde !
Je suis île flottante...
L'esprit délavé
de sombres idées,
vite lessivées.
Nouvelle conscience à l'eau de roche.
Coquine conscience à l'eau de parfum.
Nul envie de m'assécher.
Je n'ancre à aucun port
Je vais à-vau-l'eau.
Vaillant Solitaire
dégagé des voiles,
le Vent seul, inspire
ces manèges du linéaire.
Aux cétacés j'ai emprunté
le temps de quelques lueurs
l'attirail de plongée.
Nageoires, ailerons.
Allons-Animer-l'Animal !
Me suis archée hors de l'eau.
Je joue à gros bouillons.
J'offre mes puissantes
caudales pour
gicler des allôs-parfaits-aspergés,
façon chic-hydraulique
aux touristes-tour-à-tour'excités.
Ô que j'ai Vu !
Ô que j'ai trinqué !
Par hasard au clair
de dunes,
j'ai reconnu
Luna Mare,
en vacances d'été,
édition blu-ray .
Par de variantes dérives
me suis éloignée
du profond Neptune,
de ses artéfacts surnoyés,
ses mammifères folâtrés
puis tant d'hameçons-sans-poisson.
Me suis travestie en
bouchon de liège,
pour zigzaguer
en vitesse sacrilège. Yes !!!!
Enfin batifoler à volonté.
La sensation " encore "
sur la garantie, alors
ce fut un tour de gondole
sur le dos satiné
de L'Eau-Là
la carriole.
Surprise ! Deux pierres-enlignées,
stationnées pour contrer le proverbe
m'ont capturée comme mousse égarée.
Coincée , il fallait me dégager du tampon.
Remettre cette colonne à la verticale.
J'ai quitté,
le corps larmé,
la tête si trempée,
Elle. La Sirène-du-j'ai-Navigué.
THINK !
Pour ne rien oublier
j'ai emmené ce souvenir de cette " eau-là ".
À boire.
Il sera... une autre fois.
de L'eau-Là.
Me suis mouillée
les yeux et l'âme.
Mémoire-à-dos,
j'en ai ramé des gorgées,
le nez pincé.
J'ai caressé
par surprise
ces fjords-de-falaises,
ces forteresses du Royaume.
Mon coeur et
ses dépendances.
Lyrique z'é
ondoyantes ont
moulé les vagues.
Hé toi regarde !
Je suis île flottante...
L'esprit délavé
de sombres idées,
vite lessivées.
Nouvelle conscience à l'eau de roche.
Coquine conscience à l'eau de parfum.
Nul envie de m'assécher.
Je n'ancre à aucun port
Je vais à-vau-l'eau.
Vaillant Solitaire
dégagé des voiles,
le Vent seul, inspire
ces manèges du linéaire.
Aux cétacés j'ai emprunté
le temps de quelques lueurs
l'attirail de plongée.
Nageoires, ailerons.
Allons-Animer-l'Animal !
Me suis archée hors de l'eau.
Je joue à gros bouillons.
J'offre mes puissantes
caudales pour
gicler des allôs-parfaits-aspergés,
façon chic-hydraulique
aux touristes-tour-à-tour'excités.
Ô que j'ai Vu !
Ô que j'ai trinqué !
Par hasard au clair
de dunes,
j'ai reconnu
Luna Mare,
en vacances d'été,
édition blu-ray .
me suis éloignée
du profond Neptune,
de ses artéfacts surnoyés,
ses mammifères folâtrés
puis tant d'hameçons-sans-poisson.
Me suis travestie en
bouchon de liège,
pour zigzaguer
en vitesse sacrilège. Yes !!!!
Enfin batifoler à volonté.
La sensation " encore "
sur la garantie, alors
ce fut un tour de gondole
sur le dos satiné
de L'Eau-Là
la carriole.
stationnées pour contrer le proverbe
m'ont capturée comme mousse égarée.
Coincée , il fallait me dégager du tampon.
Remettre cette colonne à la verticale.
J'ai quitté,
le corps larmé,
la tête si trempée,
Elle. La Sirène-du-j'ai-Navigué.
Au premier instant des riches heures,
au moment de l'appel,
au moment de l'appel,
L'Eau-Là n'avait pas
à murmurer une fable.
Cette Lola n'est pas de La Fontaine !
Pour ne rien oublier
j'ai emmené ce souvenir de cette " eau-là ".
À boire.
Il sera... une autre fois.
comme des feuilles dépouillées d'un arbre, un bouquet d'images reconnues
RépondreSupprimerP.
L'automne prochain et ses dépendances iront à L'Eau-Là...Cela sera beau, multicolore, nous y verrons,
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